2019

La quatrième Bourse de carrière Fernand-Lindsay d’une valeur de 50 000 $ a été décerné au clarinettiste Hubert Tanguay-Labrosse. Deux autres bourses d’une valeur de 5 000 $ ont également été remises lors de la cérémonie qui s’est tenue le 1er octobre à la Chapelle historique du Bon-Pasteur.

La flûtiste Ariane Brisson a reçu la Bourse Pierre-Mantha et le harpiste Antoine Malette-Chénier la Bourse Cogeco, commandité respectivement par la Fondation Pierre Mantha et par le Groupe Cogeco.

2018

Le  14 août 2018, lors d’une réception organisée à l’intention des donateurs au Camp musical Père Lindsay, monsieur Pierre Dufresne, président du Conseil, a nommé et remercié les donateurs présents et précisé que la Fondation Père Lindsay était, à ce jour, l’un des principaux donateurs.

Il a également dévoilé une plaque hommage à Pierre Mantha, en reconnaissance de sa grande générosité et de son haut niveau d’engagement envers le camp musical, que ce soit en mettant sur pied la Fondation Père Lindsay, pour venir en aide au camp ou par sa contribution personnelle au financement de la construction des villas pour loger les professeurs. Il a rappelé qu’une villa a été nommé en son honneur : Villa Mantha.

La troisième édition du programme de formation en affaires et développement de carrière pour musiciens et musiciennes s’est tenu à Orford en partenariat avec Orford Musique et l’Université de Sherbrooke. La Fondation a octroyé des bourses d’études à hauteur de 20 000 $ commandité par le Groupe TD. Une bourse de 2 000 $ a également été attribué au meilleur projet pour encourager le talent d’une musicienne ou d’un musicien émergent et récompenser un projet ayant un potentiel de développement de carrière.

Pierre Mantha (1940-2016)
Cohorte 2018

2017

Vingt ans plus tard, la contribution de la Fondation s’élève à 2 millions $, incluant les résidences Villa Mantha et Jean Cypihot ainsi que les bourses aux jeunes du Camp musical.

La Fondation Père Lindsay a octroyé près de 800 000 $ en bourse pour le développement de jeunes musiciens, à ce jour, au Camp musical Père Lindsay, Orford Musique (Centre d’arts d’Orford), au Domaine Forget, au Concours de musique du Canada ainsi qu’aux lauréat-e-s du Prix d’Europe. De préférence, ces bourses sont attribuées à des jeunes qui proviennent du Camp musical.

Soucieuse de la réussite des jeunes musiciens, la Fondation crée un fonds pour soutenir la réalisation d’un projet artistique. Trois bourses seront attribuées et en 2017 et en 2018.

La Fondation renouvelle son soutien à EMC+ et contribue à hauteur de 3 000 $ pour l’ensemble de leurs activités musicales.

2016

En hommage au président fondateur de la Fondation Père-Lindsay, décédé en février 2016, le Deuxième Prix décerné dans le cadre du prix d’Europe devient le Prix Pierre-Mantha.

Le jeune pianiste Philippe Prud’homme remporte le Prix de la Fondation Père Lindsay, doté d’une bourse de 5 000 $, offert dans le cadre du Concours de musique du Canada – Canimex (Québec).

La Fondation Père Lindsay offre un montant de 5 000 $ en soutien à l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+).

2015

La deuxième édition de la Bourse de carrière Fernand-Lindsay présidé par Yannick Nézet-Séguin et formé de la soprano Marianne Fiset, la présidente et fondatrice d’Atma Classique, Johanne Goyette, du violoncelliste Matt Haimovitz, du compositeur et violoniste Helmutt Lipsky, de l’instrumentiste Matthias Maute, du trompettiste Paul Merkelo, du pianiste Wonny Song et de la compositrice et doyenne de la Faculté de musique de l’UdeM, Isabelle Panneton, couronne le jeune et talentueux flûtiste à bec, Vincent Lauzer. Les deux autres finalistes étaient les chefs d’orchestre Dina Gilbert et Jordan de Souza.

Thomas Chartré (cordes, 23 ans) et Zhan Hong Xiao (piano, 17 ans) se méritent respectivement des bourses de 3 000 $ et 2 000 $ offertes par la Fondation Père Lindsay, dans le cadre du Concours de musique du Canada – Canimex. Ces bourses récompensent les deux candidats ayant obtenu la meilleure moyenne aux deux premières épreuves du CMC parmi tous les participants du Québec dans les catégories 19-30 ans et 15-18 ans.

2014

Mise sur pied du programme de formation Fondation Père-Lindsay – HEC Montréal pour musicien de calibre international. Chaque participant de cette première cohorte a bénéficié d’une bourse de 3 000 $ offert par TD pour défrayer les coûts de la formation.

La Fondation Père Lindsay bonifie sa collaboration avec le Prix d’Europe en remettant le Deuxième Prix annuel doté d’une bourse de 5 000 $.

2013

Création de la Bourse de carrière Fernand-Lindsay. Le premier jury, présidé par Yannick Nézet-Séguin et formé de Matt Haimovitz, Joseph Rouleau, Vladimir Landsman, Wonny Song et Jacques Boucher, a eut la tâche particulièrement difficile de choisir parmi les trois finalistes nommés par un comité de sélections : la remarquable pianiste Isabelle David, la chef d’orchestre à la baguette sûre et personnalité charismatique, Dina Gilbert et le premier lauréat au talent fulgurant, le violioncelliste Stéphane Tétreault.

2009

Depuis l’été 2009, quelques enfants de milieux défavorisés parrainés par l’organisme Garage à musique de la Fondation du Dr Gilles Julien séjournent au camp à compter de l’été 2009.

La Fondation offre une bourse bi-annuelle de 10 000 $ aux jeunes compositeurs dans le cadre du Prix d’Europe.

2008

Le dernier événement du Père Lindsay était présidé par Luc Plamondon. Ce fut sans conteste un grand succès. Les recettes de la soirée dépassèrent 200 000 $ grâce à la participation d’Alcan.

2007

À la demande du Père Lindsay, la Fondation vient en aide à des œuvres qui lui sont chères : L’École de musique (5 000$) et le Festival Concours de musique (3 000$) de Lanaudière.

Le Conseil de la Fondation a crée un comité de financement et un comité de construction. La campagne de financement visait à recueillir un million $, soit 510 000 $ pour la seconde résidence et 500 000$ pour son fonds de bourses.

En décembre, la Fondation s’associe pour la première fois au Prix d’Europe en lui offrant un don de 5 000$.

2006

Le projet de construction d’une seconde résidence pour les professeurs voisin de la Maison Jean Cypihot va de l’avant et la Fondation s’engage à en défrayer la moitié des coûts, soit un montant au moins égal à celui d’une subvention gouvernementale de 500 000$. Le projet coûta plus de 1 million $ ; la Fondation en assuma les excédents.

2003

En 2003, l’activité bénéfice présidée par Pierre Brodeur, un homme d’affaires bien connu et aux innombrables, franchit un nouveau palier : ce furent les profits nets qui, cette fois, dépassèrent 100 000 $.

2001

En 2001 eut lieu à la Maison Jean-Cypihot, un Dîner des Bienfaiteurs pour souligner l’appui financier majeur de quelques personnes et entreprises, dont M. Jean Cypihot, et la participation du gouvernement du Québec. Ce fut nul autre que le Premier Ministre lui-même, M, Bernard Landry, qui vint au nom du gouvernement.

2000

Inauguration de la résidence pour les professeurs en présence de la ministre Agnès Maltais et des principaux donateurs. Elle portera le nom de « Maison Jean-Cypihot », en l’honneur de monsieur Cypihot, un des grands bienfaiteurs de la Fondation.

Cette année-la, l’activité bénéfice annuelle a récolté plus de 100 000 $. Des grands mécènes de la musique ont contribué largement au succès de l’événement, dont M. Roger Dubois et M. André Bourbeau.

À l’automne 2000, pour s’acquitter de son engagement d’assurer l’autofinancement de la nouvelle résidence, la Fondation l’offre en location à des groupes durant les 10 mois où le camp musical ne l’utilise pas. Dès le début, la résidence se voit attribuée la classification quatre étoiles, le maximum pour ce type d’établissement.

1999

La ministre de la Culture et des Communications, madame Agnès Maltais, confirme une aide financière de 250 000$ pour la construction de la résidence pour les professeurs. La Fondation offre alors au Camp musical un don de 500 000$. Elle se porte caution auprès du ministère et de la banque et s’engage à rembourser les coûts associés à la résidence grâce à la location de celle-ci, en dehors de la saison du Camp musical.

La ministre de la Culture et des Communications, madame Agnès Maltais avec Père Lindsay et Pierre Mantha

1998

Une première campagne de financement est mise sur pied spécifiquement pour la construction d’une résidence pour les professeurs et leur famille. L’objectif fut fixé à 3 millions $ sans préciser de date d’échéance !

À la suite d’une augmentation des frais d’inscription au Camp Père Lindsay pour la saison de 1999, la Fondation s’est engagé à mettre en place un programme de bourses afin de ne pas pénaliser les jeunes musiciens et musiciennes incapable d’absorber une hausse des coûts.

1996

Le Camp musical de Lanaudière, une des œuvres les plus chères au père Fernand Lindsay, fête ses 30 ans. C’est toute une réussite ! Le conseil d’administration présidé par Pierre Mantha met en place une fondation pour assurer la pérennité du camp. Le financement s’effectue au moyen de nombreux événements-bénéfices.

Dîner du président